Elle est située à l’extrémité de l’église des Syriaques de la Vierge Marie. La coutume voulait, aux premiers siècles, que les pères moines vivent dans des cellules éloignées les unes des autres. Mais le samedi de chaque semaine, ils se réunissaient dans l’église et passaient toute la nuit en prières et en louanges, comme les nuits de Keihak actuellement dans nos églises. Et après la liturgie, le dimanche matin, ils se réunissaient à la table des agapes (c’est-à-dire de l’amour) pour manger. Un moine leur lisait la vie des saints pendant qu’ils mangeaient, ainsi le moment des repas était aussi un temps de bénéfice spirituel.